Noa Li, c’est aller en soirée queer avec ses amix puis revenir plein de paillettes pour chanter ses peurs la fenêtre ouverte. C’est rire des malheurs d’une génération pour se questionner sur leurs origines. Sa musique est empreinte de ses Michel préférés (Legrand, Berger), de l’intimité de la Bedroom pop de November Ultra et du rap des années 2000 qu’on écoute avant de sortir pour se mettre dans l’ambiance. C’est une contradiction par essence : charo mais sensible, drôle mais émouvant, militant énervé mais pédagogue, réuni dans une même personne à l’identité trans au coeur de l’actualité.
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