One woman show sur le leg, les contraintes des liens familiaux . La culpabilisation des aînés et ceux qui sortent du cadre, en fuyant le schéma. Tout cela sur fond de spiritualité Musiques, poésie un ton à la Audiard pour l’Oncle Charles qui s’en prend à son neveu héritier du domaine qu’il faut faire prospérer. Un petit goût aussi des films d’autre fois par les lumières tamisées très esthétiques comme les thriller à la Hercule Poirot . L’artiste passant d’une musicienne fumeuse délaissée, à la gouaille de son cousin homosexuel pour enchaîner au final , les 11 personnages autour du dîner de Noël. Les musiques et les chansons vous charmeront .( Les ruelles de Pigalle , émouvant où les 60 balais de la mère d’Alam vantant le sex-appeal des sexagénaires , très amusante . Dixit les différents avis des spectateurs venus de province pour voir ce spectacle) Cette pièce, se veut être un clin d’œil à nos références personnelles familiales Critiques sur billet- reduc